CHANGEMENT D’ADRESSE !

À PARTIR DU LUNDI 22 MARS 2010,
RENDEZ-VOUS SUR : WWW.BRANDEXPERIENCE.FR

LE 22 MARS, BEX ÉVOLUE.

Nouveau serveur
Nouveau nom de domaine
Nouvelle interface
Ouuhhhh…

Rendez-vous lundi 22 mars pour découvrir la v2 de votre site préféré sur les expériences de marque.

À lundi !

Ridley Scott Associates roule pour Philips.

Philips continue de marquer des points dans la catégorie « contenu de marque » en prolongeant la collaboration avec la société de production Ridley Scott Associates. Cinq réalisateurs ont chacun imaginé un court métrage avantgardiste exploitant pleinement les capacités des écrans Ambilight de la marque suédoise (écran 21:9). Philips a déjà collaboré avec Jack Scott sur le fameux Caroussel lauréat du Festival de Canne (Cf. AuTotopsy). Cette année, en plus de Jack Scott, ce sont Greg Fay, Johnny Hardstaff, Carl Erik Rinsch et Hi-Sim qui proposent cinq histoires dans des genres très différents.
Un projet cinématographique qui débute le 8 avril prochain avec une avant-première sur Facebook.
Nom du projet : Parallel Lines.
Rendez-vous le 8 pour vos critiques.

Et si vous preniez le contrôle d’une AuTotopsy ?

Après le Caroussel de Philips, Bex vous propose de découvrir une très belle réalisation en 3D stop motion : AuTopsy.
Un site magnifique imaginé pour promouvoir une nouvelle série sur Show Case appelée Crash and Burn.
Le site se décompose en 6 étapes :
1) Regarder les conséquences d’un terrible accident
2) Visionner le point d’impact sous toutes ses coutures spatiaux temporelles
3) Découvrir Jimmy Burn, l’expert qui va enquêter sur cette sombre histoire
4) Revivre les derniers instants de l’accident grâce à une ligne temps interactive
5) Etudier les rapports de police
6) Explorer les 6 points d’impact cruciaux grâce à un plan 3D.

Un concept qui exploite à merveille la technique du stop motion 3D et qui nous permet d’imaginer des possibilités encore peu explorées…le jeu, l’enquête, l’interactivité dans une vidéo 3D. Pouvoir zoomer, avancer, reculer, interroger…fouiller…changer de point de vue, le tout en 3D…mmmhh Sweet…je m’y colle pour un prochain petit client auto, c’est promis. Le budget devra être open bar, soit…mais c’est la sortie de crise non ?

Bravo Logorama !

Désolé, mais je suis obligé de publier sur BEX ce chef d’oeuvre imaginé par H5 et récompensé aux derniers Oscars dans la catégorie «Court métrage d’animation».
18 minutes racontées intégralement grâce à des logos. Pour mémoire, H5 est l’auteur de nombreux clips (Alex Gopher, Massive Attack, Röyksopp…), et a été régulièrement exposé (Nuit Blanche 2007, Beaubourg, MoMA…). Il regroupe François Alaux, Hervé de Crécy (de la grande fratrie dont Etienne est membre) et Ludovic Houplain.
Après ce petit film, BEX vous propose une documentaire réalisé par le très bon magazine Etapes sur la genèse de l’idée et les défis graphiques imposés par 6 années de travail nécessaires à la naissance du court métrage.

http://www.dailymotion.com/video/xciooi_logorama-oscar-2010-version-fran%E7ai_shortfilms

iPad, une multi-évolution ? EPISODE 2

EPISODE 2 : Nouvelles machines, nouveaux contenus.

Soyons objectifs: On ne peut pas dire que la presse française soit d’une fulgurante créativité. Croyez-vous que l’un de nos titres nationaux communiquerait déjà sur une éventuelle future mouture digitale pour iPad ou tablette ? Imaginez Laurent Joffrin ou Etienne Mougeotte avec un iPad dans une main, un Archos dans l’autre, procédant à une démonstration de la fonction d’ajout d’un article, image ou vidéo simplement en le glissant d’un swap du doigt vers une icône monlibé ou myfigaro. Non, vous rêvez là, ils cherchent encore un modèle économique viable sur iPhone, et c’est suffisamment compliqué comme ça.

Que penser des interfaces digitales des trois leaders de la presse quotidienne nationale ? Libé est largué depuis bien longtemps en tentant d’imposer, en bon suiveur, un style 2.0 qui ne fonctionne pas. Vous avez un profil Libé vous ? Moi aussi mais je ne l’utilise pas. Et pour cause, je ne perçois pas son utilité au quotidien. Et tandis que Le Monde.fr joue dans l’efficace en imitant allègrement les recettes du nytimes.com qui fonctionnent, il n’y a guère que Le Figaro.fr qui arrive à fidéliser ses lecteurs grâce à une interface moderne, simple, intuitive et riche en médias. Mais alors que je m’ennuie souvent en lisant les infos sur de nouveaux arrivants comme Slate.fr – pourtant l’un des plus réussis -, outre Atlantique, le NY Times ou Wired misent sur le succès des futures interfaces tactiles et parviennent à me captiver.

Comme iPhone a révolutionné le marché du mobile, de la musique et de l’entertainment, une seconde révolution approche. Make no mistake Mister Dadich, iPad ne va pas uniquement créer une révolution dans la consommation du journalisme. L’iPad va créer une révolution globale dans la consommation des médias et de leurs contenus. Et les enjeux seront bien plus cruciaux que ceux engendrés par iPhone. Pourquoi ? Parce que le format de son écran et son interface ont été soigneusement étudiés a Cupertino pour qu’il soit la tablette « rich media » par excellence. Bien sous tous rapports. Bien pour lire un quotidien, un livre, sa musique, un film, regarder la télé, naviguer sur internet, montrer ses photos, dévorer un magazine haut de gamme.

Un magazine ? Mister Dadich, rédacteur en chef de Wired, ne s’y trompe pas. Il sait que demain, avec iPad, Wired sera plus qu’un simple mag. Il peut devenir un média encore plus puissant que les opérateurs TV traditionnels. Car Mister Dadich a un petit secret issu du papier ! Il a dans sa rédactions des hommes et des femmes qui savent raconter des histoires. Non pas uniquement grâce à des vidéos comme TF1 ou Canal +, mais aussi grâce à des textes, des sons, des photos, des animations ou des diaporamas ! Mister Dadich est finalement un Mister « Rich Media » en puissance. Et qui dit rich media, dit bouleversement de notre manière de surfer sur internet, et ainsi, bouleversement de la conception des contenus médias.

Et dans ce nouveau courant que constituent les tablettes mobiles, plusieurs modèles vont s’affronter. Le modèle iPad avec ses applications fenêtres sur du contenu mis à jour grâce à internet, et récemment, une autre idée de la tablette présentée par Microsoft : Courier. Ce dernier né propose une idée simple : un PC mobile qui serait un carnet géant constitué de pages à l’infini dans lesquelles je pourrais glisser un album ou une image prise sur le site de Nike, créer une note d’inspiration pluri-média, prendre une photo pour la glisser dans un album, lire un magazine en tournant ses pages comme au bon vieux temps du papier.

Les deux géants sont sur les starting blocks, mais les éditeurs de contenus le sont-ils aussi ? En France, rien de nouveau. Aucune annonce en vue. L’Équipe sous iPad avec les meilleurs buts du PSG contre l’OM dans un montage vidéo sur lequel je pourrais zoomer, changer de vue façon Street View, ce n’est pas pour avril, ni mai d’ailleurs. Dommage, car la promesse de possibilités pour les rédactions, les maquettistes, les journalistes, les programmeurs est juste grandiose. Imaginez un JRI de Marianne qui pourra offrir d’un seul touch à ses lecteurs un article écrit mais aussi une vidéo, un diaporama photos et même un super graphique en réalité augmentée.

C’est clair, imaginer un site tactile ou un nouveau site de vente de livres en ligne pour tablettes représente une lourde tâche, et on sent clairement les médias français attendre des succès outre atlantique pour enfin passer à l’action comme ils l’ont fait sur iPhone en bons petits moutons. Une lenteur pathétique avouée par Tessa Destais, conseillère du président du groupe d’édition La Martinière dans une interview donné au journal 20 Minutes : «Il est évident qu’il se passe quelque chose en ce moment, mais les choses ne bougeront pas à la seconde (…) L’arrivée de cette tablette est importante, au même titre qu’Amazon ou Google qui proposent des modèles innovants. Le groupe La Martinière étudie sérieusement l’évolution du marché, mais toute précipitation serait une erreur.» C’est sûr, avec des groupes français aussi frileux, les choses ne sont pas prêtes de bouger aussi rapidement qu’aux Etats-Unis.

Une fois de plus les Lagardère, Marie-Claire, Prisma auront un temps de retard. Il faudra 1 an ou 2 pour qu’ils comprennent que s’ouvre une nouvelle ère passionnante pour leurs métiers. Les journalistes, les graphistes, les maquettistes, les éditeurs, tous ces « raconteurs » d’histoires vont enfin disposer d’un moyen d’expression plus vaste, plus riche. Tout l’enjeu des médias de demain sera bien de proposer les meilleurs histoires animées grâce à une qualité et une diversité de médias que le papier et la navigation par souris ne pouvaient offrir.
Des contenus imaginés comme des voyages qui s’adaptent à nos préférences de navigation. Je veux pouvoir naviguer dans mon JDD en tournant des pages ou en l’explorant comme si le journal n’était qu’une grande image sur laquelle je me balade d’un seul swap du doigt. À côté d’un article sur le dernier film des frères Cohen, je double touch sur une vidéo bande annonce qui s’affiche alors en plein écran. En bas, pendant le film, j’ai un slide show photo du making off et des titres d’articles relatifs aux deux génies. Je touche l’une des photos et c’est un diaporama HD qui se met en route.

Alors une question vous obsède, j’en suis sûr : pourquoi un PC portable ne permet pas autant de richesse ? Parce que sur un écran léger, sans clavier, je peux jouer sur les formats, un simple écran, je peux le tourner dans tous les sens car il n’en a pas vraiment. Je peux le toucher, le swaper, le pincher, le tapoter, le faire trembler… ou même souffler dessus pour interagir avec son interface, ses applications ou ses contenus chargés sur le web. Son interface tactile, son caractère ultra portable et son format proche d’une feuille A4 lui confère des qualités et des possibilités que ne peut pas offrir un écran prisonnier d’un clavier. Sur un site de vente, je vois un canapé, comme je n’ai ni clavier, ni souris, je tourne instinctivement le meuble à 360° grâce à un simple frottement de mon index. Et c’est d’ailleurs un instinct assez primaire quand on y pense. Un enfant ne touche-t-il pas tout avec ses doigts par curiosité pour le monde qui l’entoure ? Finalement, cette révolution n’est-elle pas un juste retour vers nos instincts primaires ? Une adaptation de plus à notre physionomie et à nos instincts naturels ? Redeviendrais-je une espèce de singe avancé en achetant un iPad ?

Rendez-vous la semaine prochaine pour le troisième et dernier épisode de notre série sur l’iPad.
iPad, une multi-évolution ? EPISODE 3. Nouvelles machines, nouveaux business ?
Nous verrons quelles opportunités business peuvent être imaginées grâce à l’arrivée de la nouvelle tablette Apple.

En attendant, voici la toute première publicité de l’iPad diffusée durant la cérémonie des Oscars 2010. Merci à http://www.blogenbois.fr pour cette maj.

iPad, une multi-évolution ? EPISODE 1

Il a été l’objet de toutes les recherches pour confirmer son existence. iSlate, iTab, iPif, iPaf, le phénomène a carrément tourné au ridicule. Je veux évidemment parler d’iPad, la tablette Apple présentée le 26 janvier 2010 par Steve Jobs himself. Les dernières rumeurs publiées étaient risibles : selon une source du Business Insider, « L’interface avait un petit goût de nouveau, et était sexy ». Pour BGR,  » The tablet is basically an iPhone on steroids.” On imaginait alors un iPhone huilé, musclé et bourré de pilules pour body builders. Non, Bex n’a pas offert, comme Gawker Media, 100.000 $ en échange de preuves de l’existence de la tablette Apple, de peur de recevoir une lettre du cabinet Orrick incitant le site à cesser le jeu concours inclinant clairement à l’espionnage industriel. Non, Bex ne vous a pas révélé en avant première que c’est en « pinchant », un doigt dans le nez, un autre dans la bouche que vous pourrez activer la fonction révolutionnaire du « zoom-zoom-copie-colle ». Mais Bex vous propose de passer ensemble un bon moment de prospective sur 3 semaines. Un épisode par semaine dans lequel Bex imagine quelles pourraient être les évolutions apportées par iPad dans son écosphère.
Comment le marché des PC mobiles va évoluer ? Sur quels terrains les prochaines guerres vont avoir lieu ? Une guerre entre constructeurs de PC, de mobiles, entre providers ? Le web 3.0 sera-t-il mobile ou ne sera pas ? Adobe, Apple, Microsoft seront-ils contraints de réinventer leurs plug-ins, leurs applications, leus logiciels ? Je vous propose d’imaginer ensemble les multiples évolutions apportées par iPad. Des scénarii hypothétiques pour une révolution que beaucoup pensent certaine.

Sommaire

Episode 1 : Du portable au mobile, la future guerre des applications.
Episode 2 : Nouvelles machines, nouveaux contenus.
Episode 3 : Nouvelles machines, nouveaux business.

Episode 1 : Du portable au mobile, la future guerre des applications.

Des tablettes tactiles, il y en a eu pléthore. On se souvient même d’un prototype jamais produit par Apple imaginé dès 1990 et déjà appelé MessageSlate. Mais aussi les Tablets PC qui tournaient sur Windows XP (nom de code Origami) qui n’ont jamais vraiment connu le succès escompté par Microsoft et les constructeurs Samsung ou HP. Des échecs dus à des interfaces inadaptées à l’utilisation nomade (who wants to use a stylus ? demandait Steve Jobs…en lançant iPhone) mais également à cause de prix prohibitifs au regard des possibilités réduites de ces machines : mémoire interne insuffisante ou processeur trop lent pour permettre une autonomie acceptable. Il y a 2 ans, personne n’avait alors compris que les deux secrets du tactile étaient l’intuitivité et la réactivité de l’interface. Tous les grands constructeurs de PC et de mobile ont rencontré des échecs successifs à cause de produits trop lents et trop compliqués à utiliser. Aujourd’hui encore, le décalage est encore sensible entre certains produits proposés par de grands géants, et les besoins des utilisateurs. On se demande comment Amazon ou Sony peuvent voir dans leur tablette noir et blanc des produits vecteurs de croissance. Des tablettes à écran noir et blanc pour 270 € ? Pour lire des livres ? Sur Engadget fleurissent tous les jours de nouvelles tablettes par Azus, HP, Dell ou Archos. Toutes fonctionnent sur Windows 7 ou Android. Leurs principaux atouts : le prix et le multitâche. Leur faiblesse : l’autonomie tout d’abord. Car qui dit multitâche, dit processeur plus sollicité donc consommation plus importante. Deuxième faiblesse : la quantité d’applications mobiles disponibles sur leurs futurs systèmes. La déception des fans les plus fervents d’Apple a été très grande lorsqu’ils ont constaté que iPad n’était ni plus ni moins qu’un grand iPhone « monotâche ».

Mais c’est bien là le génie de la marque à la pomme. Avec 10 milliards de téléchargements musicaux, 85 000 applications iPhone disponibles et 2 milliards de téléchargements dans l’App Store, Apple est devenu la plus grande plateforme de vente et de téléchargement d’applications mobiles devant Nokia, Samsung et Google. Or comme les trois quarts du parc PC sont désormais portables et bientôt mobiles, Apple compte bien attirer de nouveaux consommateurs dans son escarcelle grâce à sa prédominance dans les nouveaux logiciels mobiles que sont les fameuses apps ! Vous vous souvenez de la rengaine PC il y a 10 ans ? J’aime pas les Mac, et de toute façon, tous les logiciels sont sur PC ! En 2010, c’est bien le phénomène inverse dans le business du Smartphone. Combien d’applications sur Nexus, N900, Blackberry. Combien de jeux ou de logiciels pourront tourner sur Windows 7 Mobile ou Android ? Très peu par rapport à un app store dont les applications pourront être utilisées sur iPhone et sur iPad.

Certes ces machines sont capables de n’exécuter qu’une application à la fois, mais est-ce un vrai handicap ? Utilisez-vous réellement plusieurs applications à la fois dans le TGV, chez vous, dans un café ? Les utilisateurs préfèrent une machine qui exécute parfaitement une application, plutôt que plusieurs avec médiocrité. Mais le marché saura s’adapter, et la guerre sera terrible sur le sujet crucial des applications pour les PC mobiles. Elle a déjà d’ailleurs commencé. Pour preuve, l’annonce de l’alliance de 24 opérateurs pour la création d’une plateforme de téléchargement d’applications destinée à contrer la suprématie de l’App Store. Simple effet d’annonce ou contre-attaque réelle, quel est sera le modèle économique de cette alliance improbable ? L’histoire nous a par ailleurs montré qu’un Vodafone ou un Orange était bien incapable de concurrencer l’engineering d’un fabricant de hard et de software. Et ce, malgré des investissements colossaux pour prendre finalement une part ridicule du gâteau du téléchargement musical. Non, les vrais concurrents s’appelleront Android Market ou Ovi Store. Et celui qui gagnera la bataille sera celui qui offrira le plus d’applications de qualité, dans des machines rapides et autonomes. D’ailleurs, si j’étais Apple, Nokia ou Google, je créerais des armées gigantesques de développeurs open source rémunérés au mega octet programmé ! Je viendrais les chercher en Hummer limos, et les ferais dormir sur place dans des chambres équipées d’open bar Red Bull, PS3, XBOX, Donuts et autres hélicoptères téléguidés Parrot. Ce régime pendant 2 semaines et je vous jure, je crée le nouvelle app Facebook pour iPad en 2 jours et la nouvelle interface web tactile de Wired en 2h…le tout sans logiciel Adobe ! Visiblement, c’est déjà le régime de la bande de vaillants dans la vidéo ci-dessous. ENJOY l’introduction des Fantastic 4…

La semaine prochaine, 2ème partie du dossier « iPad, une multi-évolution ? »
Évolution pour la navigation sur internet.

Stay tuned !

Become Mars

Petit coup de cœur pour une expérience qui marche toujours bien. Vingt ans après le lancement de la Air Jordan par le personnage fictif Mars Blackmon alias Spike Lee, Mars revient dans un micro-site et une application iPhone dans laquelle il s’agit de devenir Mars à la manière de Year Book Yourself. Bon, un peu déjà vu mais le personnage est tellement cool. L’ensemble constitue une campagne pour le relancement de la Air Jordan Spiz’ikes.
http://www.nike.com/jumpman23/becomemars/index.html

Et si le jeu rencontrait la réalité ?

Et si mon futur enfant (naissance prévue en avril) contrôlait ses futurs jouets grâce à mon iPhone tout en jouant à de multiples jeux en réalité augmentée grâce à la caméra embarquée sur son Pikooz 4 ou autre Ultracoptère 5000 ? Vous ne comprenez pas ce que je dis ? C’est pourtant simple : J’ai découvert un engin et je le veux dès sa sortie ! Imaginez un hélicoptère contrôlé par un iPhone en Wifi ? Un engin capable de voler à l’intérieur comme à l’extérieur, en stationnaire comme de tourner à droite ou à gauche. Un engin qui ne dispose pas d’une, deux, trois hélices mais quatre hélices. Un truc de fou qui embarque une caméra qui transmet ses images sur l’iPhone qui le contrôle. Vous vouliez voir votre voisine de plus près ? C’est possible grâce à la société Parots. Une entreprise française qui compte sortir son Quadricoptère AR. Drone en 2010. Mais ce n’est pas tout. Cette machine propose des jeux en réalité augmentée. Un panneau installé sur une chaise et vous voici à jouer comme un débile profond en combattant des méchants virtuels grâce à votre drone bien réel lui ! Mais surtout, imaginez les possibilité ! Demain mon futur enfant aura une voiture téléguidé en Wifi par iPhone et c’est tout une ville qu’il verra dans son écran…imaginez GTA en réalité mixte…sa soeur n’aura qu’a bien se tenir…et avec un peu de chance, elle sera découpée par une tronçonneuse virtuelle…enfin j’espère.

Coup de coeur made in co.uk

Je le dis sans complexe parce que Romain Colin est talentueux (et super sympa), c’est grâce à Fubiz, que j’ai découvert ce site londonien extraordinaire nommé BLANKA. Affiches, livres, T-Shirts collectors ont élu domicile à cette adresse où design, photo et graphisme sont les rois. Tapez l’url de BLANKA, et, quand vous visiterez Londres, comprenez pourquoi les murs sont tapissés d’affiches graphiquement supérieure à tout ce qu’on peut voir en France. Cliquez sur BOOKS ou ART et saisissez pourquoi à Londres le moindre magasine, flyer ou n’importe quel print branchouille vous donne envie de brûler Jeanne d’Arc vive ! Bref, passons et saisissons l’occasion d’utiliser le clique/droit/enregistrer sous/dossier images qui défoncent…à défaut de débourser 115£ pour l’affiche sublime « Twenty-first century classics » imaginée en 1999 par NB:STUDIO pour Knoll International. NB: Studio qui aura droit d’ailleurs à un dossier complet très bientôt dans cette rubrique Formes.